Un contrat CDI, le contrat parfait

Le contrat CDI ou contrat à durée indéterminée est un contrat de travail qui détermine les obligations entre un employeur et un salarié sur une période non déterminée. Selon la majorité des Français, c’est le contrat de travail par excellence, du fait qu’il permet aux salariés de se projeter sur le long terme et d’assurer la sécurité de leur emploi et donc, d’avoir un revenu stable sur le long terme. Il faut aussi savoir que dans les différents projets que le salarié en CDI peut viser, les établissements financiers et les agences immobilières privilégient surtout les personnes titulaires de CDI en leur accordant plus facilement leurs services (prêts et crédits en tout genre).

Que contient un contrat CDI ?

En France, un contrat CDI doit obligatoirement être rédigé en français avant d’être traduit dans une autre langue si besoin. Et comme tous les autres types de contrats de travail existants, le CDI doit comporter les mentions définies par le Code du travail français, à savoir, l’identité et l’adresse des deux parties, la fonction et le statut de l’employé, la rémunération convenue, le statut des congés payés, la durée du travail, une clause de non-concurrence, la durée de la période d’essai, la clause relative à la rupture de contrat, etc.

Le CDI peut-il être résilié ?

Selon sa nature, le CDI n’a pas une date d’échéance, mais il peut être annulé suite à la volonté de l’une ou de l’autre des parties ou encore, dans un cas de rupture à l’amiable. Ce qui veut dire que l’employé peut démissionner pour mettre un terme à un contrat CDI. Quant à l’employeur, il peut résilier un CDI en licenciant un salarié ou l’envoyer prendre sa retraite. Dans les deux cas, il est de l’obligation de celui qui résilie le contrat d’aviser l’autre partie, quelques semaines ou des mois à l’avance. Si c’est l’employeur qui procède à la rupture du contrat, des raisons valables doivent également être avancées et le salarié doit jouir de son solde de tout compte. Cependant, le contrat peut être également rompu sans préavis par l’employeur en cas de force majeure. Tel est le cas si l’employé à commis une faute lourde (un cas de vol), en cas de faillite de l’entreprise, etc.

Disposer des qualités exigées par la profession

Sachez que le trader est avant tout un négociant. Il gagne sa vie en négociant des transactions sur lesquelles il dégage une marge. Ce professionnel a intérêt à disposer de qualités de vendeur. Il doit également être réactif pour pouvoir saisir les opportunités qui se présentent. Le tact et la capacité de garder son sang-froid face à un interlocuteur tenace sont indispensables pour pratiquer cette activité. Parfois, il faut faire preuve de beaucoup de patience. Le trader attendra le bon moment pour agir. À un moment donné, ce spécialiste va prendre le temps d’analyser ses actes pour corriger la stratégie.

Accéder à la profession en poursuivant les formations adéquates

Les traders suivent divers cursus universitaires. Les sortants des écoles de commerce peuvent prétendre à la profession. Les diplômes de niveau master 2 pourront être utiles pour passer la sélection au moment du recrutement. En France, de nombreux traders viennent des disciplines qui n’ont pas beaucoup de lien avec la vente. Les sortants d’écoles d’ingénieurs sont particulièrement appréciés par leur rigueur et leur capacité de réfléchir rapidement. Les polytechniciens choisissent de faire carrière dans le trading puisqu’ils s’adaptent facilement à toutes les situations.

Pratiquer un métier financier sans diplôme

Ce n’est pas un rêve, vous pouvez devenir trader professionnel sans le bac. Pour disposer des bases indispensables, vous pouvez suivre des formations en trading. Participez à des conférences ou des symposiums sur cette activité. Pour matériels didactiques et les cours coûtent relativement cher. Ce sont des investissements que vous devez rapidement récupérer lorsque vous serez trader.

Le choix d’un statut

Pour créer une entreprise, il faut choisir un statut, c’est-à-dire choisir entre les différentes formes d’entreprises, dont l’entreprise individuelle, l’entreprise de personnes, la coopérative et l’entreprise par actions. L’entreprise personnelle est la plus simple à créer puisqu’elle ne demande pas de capital et ne nécessite pas d’associé. Par ailleurs, vous pouvez exercer différentes sortes d’activités que ce soit libérales, commerciales, artisanales ou autre. En revanche, si vous optez pour une société, celle-ci doit avoir ses propres comptes et son propre patrimoine. Ainsi, les formalités à suivre sont différentes en fonction du type d’entreprise que vous décidez de créer.

Le choix d’un nom

Toute société doit avoir un nom social. Ainsi, vous devez choisir un nom spécifique qui n’a pas encore été utilisé par d’autres. Pour vérifier si le nom que vous avez choisi a déjà été utilisé dans votre domaine d’activité, vous pouvez consulter l’Institut national de la propriété industrielle sur internet. Sinon, vous pouvez demander auprès des greffes de la cour de commerce dans votre département. A noter que pour une entreprise personnelle, le nom de ce dernier sera automatiquement le nom propre du fondateur.

Le choix d’un siège social

Une entreprise doit avoir un siège social, c’est-à-dire un local dans lequel le propriétaire exerce son activité. Ainsi, l’entreprise aura automatiquement une adresse commerciale. A noter qu’un entrepreneur peut domicilier son entreprise à sa demeure.

Remplir des formulaires auprès du Centre de Formalités des Entreprises

Pour créer une entreprise, vous devez aussi remplir des formulaires auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE) où vous appartenez. Puis, vous devez rendre avec ces formulaires remplis certains dossiers comme la copie de votre carte d’identité, une déclaration sur l’honneur de non-condamnation, une fiche d’état civil et un justificatif de domiciliation. Après ces formalités, vous recevrez votre immatriculation.

Le choix d’une mutuelle

Une entreprise doit être assurée. Donc, après toutes ces étapes, vous devez choisir une mutuelle pour l’entreprise que vous avez créée. A noter que d’autres formalités peuvent être requises en fonction du secteur d’activité et de la forme de l’entreprise.

Les avantages de la formation

Tout d’abord, un congé individuel devrait être accordé à l’avance à l’employé pour le libérer de son poste. Etre formé lui permet d’améliorer sa capacité et sa compétence dans l’accomplissement de ses missions. A l’issue de la formation, un certificat ou un diplôme lui sera délivré à condition qu’il ait réussi aux différents tests de compréhension et d’évaluation de niveau. Par la suite, il pourrait bénéficier d’un reclassement, une affectation à un nouveau poste encore meilleur que l’ancien. Cela sous-entend bien sur une progression salariale. En ce qui concerne le droit du salarié, l’employeur paie un supplément évalué à 50% du taux normal au cas où la formation a eu lieu en dehors des heures de travail.

Les obligations de l’entreprise

Toute formation autorisée par l’entreprise demande forcement de résultat, surtout un apport pour la société. Au niveau de la loi, chaque établissement doit encadrer ses propres employés par le biais d’une formation. Cette dernière est importante, car elle favorise l’adaptation du salarié à son poste de travail. Cette obligation concerne surtout les nouveaux recrus ou les employés temporaires, ceux qui sont transférés dans un autre département ou ont arrêté leur travail pendant plus de 20 jours. Notons que dans toutes ces situations, les participants doivent être rémunérés au taux normal.

Les véhicules publicitaires

Les véhicules publicitaires ne sont pas uniquement des voitures de société. Ils peuvent être actuellement loués. Il parait être important de le préciser.
Le principe est simple. Vous allez utiliser une voiture, qui portera notamment les logos de votre entreprise ainsi que diverses informations la concernant. Cette dernière devra circuler dans toute la ville et toucher au passage un grand nombre de client et de prospect potentiels.
La réalisation des prospectus ainsi que la création des messages que vous allez véhiculer peuvent être confiées à une agence de communication. Et ce ne seront pas nécessairement des peintures, mais peuvent aussi être des autocollants afin de faciliter les choses et réduire les dépenses.

Des images dans des endroits stratégiques

Comme auparavant, la société actuellement n’est pas véritablement des férus de lectures. Une image poignante est bien plus efficace que des mots, notamment si on parle de stratégie de street marketing. C’est d’ailleurs un concept que la marque Mr Propre ou Mac Donnalds a exploité récemment.
Mais attention, afin de profiter de tous les avantages de votre publicité, encore faut-il trouver un endroit stratégique pour placer les images. Jusqu’à présent, les grandes marques ont interprété le terme « street marketing » de manière littérale en peignant des images dans la rue. Mais vous pouvez aussi utiliser les panneaux publicitaires, voire même les tags, à condition bien évidemment d’avoir les autorisations requises.

Une démonstration dans les rues

Il est bien plus facile de convaincre les consommateurs quand vous leur proposez d’essayer eux-mêmes vos produits. Et c’est un des nombreux styles de street marketing tendance de nos jours. Marque d’adoucissant, de produits à la consommation et bien d’autres encore se sont lancé dans ce genre de démarche et y ont notamment trouvé des bénéfices.
Il suffit de trouver la bonne place, et surtout d’entamer dans les règles de l’art toutes les démarches nécessaires.

Une démarche marketing de qualité

Les salons ont depuis des années faites leur preuve en tant que démarche marketing. Ici, vous pouvez faire d’une pierre deux coups : évaluer la concurrence et le marché, et prospecter pour votre marque en même temps. En effet, dans le même endroit se retrouveront aussi bien les autres professionnels que les clients potentiels.
Votre stand vous servira de PLV, dans lequel vous pourriez proposer à la fois des dégustations et des essais, mais aussi partager des prospectus et des affiches. Mais attention, afin de profiter d’un grand nombre de visites, vous devez absolument choisir le bon emplacement dans le salon. Pour information, ce sont généralement les stands à l’entrée et/ou en milieu. Contrairement aux idées reçues, les coins sont à éviter autant que faire se peut. Les boxes sont étriquées et cachées par les autres concurrents.

Les préparations à faire

Comme susmentionné, sachez qu’un salon se prépare en avance. Généralement, il faut prévoir 6 à 12 mois. Pendant ce laps de temps, vous devez créer une équipe qui travaillera uniquement sur les présentations et la création des prospectus à distribuer pendant l’événement. Ce sera une équipe indépendante, mais qui vous devra tout de même des comptes.
Parfois, les grandes entreprises vont jusqu’à engager un commercial expert pour leur présentation. En effet, une vente se conclut en quelques minutes ou jamais durant ce genre d’événement. Il faut donc avoir le sens du bien parlé et le charisme qu’il faut afin d’attirer l’attention des visiteurs et convaincre des prospects et/ou optimiser de manière conséquente les fichiers clients de l’entreprise. Les commerciaux et animateurs peuvent être indépendants. Leurs frais de commissions changent au coup par coup. Donc prenez soin à comparer les devis afin d’éviter les mauvaises surprises.