Quelle filière choisir ?

On choisit de faire carrière dans un domaine parce qu’on s’y sent bien et qu’on a les ressources personnelles nécessaires (talent, intérêt, facilités, etc.) pour exceller dans le secteur. Beaucoup de personnes décident aussi de se spécialiser dans un domaine qui recrute constamment. Le Graal est de pouvoir combiner les deux. Dans un marché du travail de plus en plus exigeant, il faut se faire une spécialisation. D’ailleurs, même les programmes des grandes écoles les plus généralistes proposent plusieurs choix de spécialisation en fin de cursus. Vous voulez faire carrière dans le commerce ? Notez que ce domaine est constitué de nombreuses branches d’activité. Pour booster les chiffres d’affaires (et donc le commerce d’une entreprise), il faut gérer les ressources humaines, financières et matérielles. Pour les ressources humaines particulièrement, les équipes se divisent en plusieurs départements : le marketing, la communication et la publicité.

Quel type de formation choisir ?

Les centres de formation comme IAE Eiffel proposent des formations à plein temps et des formations en alternance. Vous pouvez, après le bac, vous inscrire en formation initiale à plein temps dans une grande école. Vous pouvez également suivre une formation en alternance si vous travaillez en même temps. Enfin, il est possible de suivre une formation continue si vous voulez reprendre les études après plusieurs années. Pour vous qui comptez suivre une formation professionnelle et continue, vous pouvez choisir entre une formation qualifiante et une formation diplômante. La première option vous donne des qualifications pour exceller dans votre poste actuelle. La seconde option vous permet d’obtenir des diplômes reconnus vous permettant de postuler pour un poste précis.

Bien définir son objectif

Si vous vous inscrivez à une formation à distance, c’est qu’il y a une raison : viser un poste de niveau hiérarchique plus élevé, changer de métier, valoriser son CV avec un nouveau diplôme… Peu importe le cas, il faut que vous fixiez clairement un objectif. Gardez à l’esprit cet objectif, car cette formation va vous paraître longue. Lorsque vous êtes démotivé, rappelez-vous de cet objectif.

Fixer des objectifs réalistes pour la formation

Au début, vous allez être très motivé et c’est dans ces débuts que vous devez vous fixer quelques objectifs pour votre formation à distance. Il faut tout de même rester réaliste dans la fixation de ces objectifs. Vous devez définir le temps que vous allez consacrer par semaine pour votre formation. Référez-vous également aux durées indicatives de la formation.

S’organiser

C’est un des points clés de la réussite de votre formation à distance. Vous devez établir un emploi du temps et le respecter. Pour cet emploi du temps, vous devez organiser vos priorités et mettre au même rang des choses prioritaires votre formation.

Travailler

Pour réussir, il faut travailler. Pour un adulte, la mémorisation est plus difficile : c’est pourquoi il faut travailler encore deux fois plus. Vous devez faire de votre mieux pour étudier et trouver la bonne stratégie de mémorisation. Il ne faut pas trop se forcer, car s’imposer 3 ou 4 heures d’études après le travail ne vous aidera pas à comprendre vos leçons.

Disposer des qualités exigées par la profession

Sachez que le trader est avant tout un négociant. Il gagne sa vie en négociant des transactions sur lesquelles il dégage une marge. Ce professionnel a intérêt à disposer de qualités de vendeur. Il doit également être réactif pour pouvoir saisir les opportunités qui se présentent. Le tact et la capacité de garder son sang-froid face à un interlocuteur tenace sont indispensables pour pratiquer cette activité. Parfois, il faut faire preuve de beaucoup de patience. Le trader attendra le bon moment pour agir. À un moment donné, ce spécialiste va prendre le temps d’analyser ses actes pour corriger la stratégie.

Accéder à la profession en poursuivant les formations adéquates

Les traders suivent divers cursus universitaires. Les sortants des écoles de commerce peuvent prétendre à la profession. Les diplômes de niveau master 2 pourront être utiles pour passer la sélection au moment du recrutement. En France, de nombreux traders viennent des disciplines qui n’ont pas beaucoup de lien avec la vente. Les sortants d’écoles d’ingénieurs sont particulièrement appréciés par leur rigueur et leur capacité de réfléchir rapidement. Les polytechniciens choisissent de faire carrière dans le trading puisqu’ils s’adaptent facilement à toutes les situations.

Pratiquer un métier financier sans diplôme

Ce n’est pas un rêve, vous pouvez devenir trader professionnel sans le bac. Pour disposer des bases indispensables, vous pouvez suivre des formations en trading. Participez à des conférences ou des symposiums sur cette activité. Pour matériels didactiques et les cours coûtent relativement cher. Ce sont des investissements que vous devez rapidement récupérer lorsque vous serez trader.

Le choix d’un statut

Pour créer une entreprise, il faut choisir un statut, c’est-à-dire choisir entre les différentes formes d’entreprises, dont l’entreprise individuelle, l’entreprise de personnes, la coopérative et l’entreprise par actions. L’entreprise personnelle est la plus simple à créer puisqu’elle ne demande pas de capital et ne nécessite pas d’associé. Par ailleurs, vous pouvez exercer différentes sortes d’activités que ce soit libérales, commerciales, artisanales ou autre. En revanche, si vous optez pour une société, celle-ci doit avoir ses propres comptes et son propre patrimoine. Ainsi, les formalités à suivre sont différentes en fonction du type d’entreprise que vous décidez de créer.

Le choix d’un nom

Toute société doit avoir un nom social. Ainsi, vous devez choisir un nom spécifique qui n’a pas encore été utilisé par d’autres. Pour vérifier si le nom que vous avez choisi a déjà été utilisé dans votre domaine d’activité, vous pouvez consulter l’Institut national de la propriété industrielle sur internet. Sinon, vous pouvez demander auprès des greffes de la cour de commerce dans votre département. A noter que pour une entreprise personnelle, le nom de ce dernier sera automatiquement le nom propre du fondateur.

Le choix d’un siège social

Une entreprise doit avoir un siège social, c’est-à-dire un local dans lequel le propriétaire exerce son activité. Ainsi, l’entreprise aura automatiquement une adresse commerciale. A noter qu’un entrepreneur peut domicilier son entreprise à sa demeure.

Remplir des formulaires auprès du Centre de Formalités des Entreprises

Pour créer une entreprise, vous devez aussi remplir des formulaires auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE) où vous appartenez. Puis, vous devez rendre avec ces formulaires remplis certains dossiers comme la copie de votre carte d’identité, une déclaration sur l’honneur de non-condamnation, une fiche d’état civil et un justificatif de domiciliation. Après ces formalités, vous recevrez votre immatriculation.

Le choix d’une mutuelle

Une entreprise doit être assurée. Donc, après toutes ces étapes, vous devez choisir une mutuelle pour l’entreprise que vous avez créée. A noter que d’autres formalités peuvent être requises en fonction du secteur d’activité et de la forme de l’entreprise.

Québec : étudier à l’étranger dans un milieu francophone

Choisir d’aller au Québec vous permet de vivre une expérience internationale dans un cadre francophone. Les universités québécoises attirent environ dix mille étudiants français tous les ans. Cette province possède sept universités, dont quatre offrent des cours en français et trois en anglais. Les Universités du Québec se regroupent en effet dans un réseau de dix établissements répartis sur l’ensemble du territoire.

Choisir d’étudier et vivre en anglais

Si vous voulez vous lancer dans un environnement complètement différent de celui que vous vivez actuellement, les autres provinces canadiennes sont suffisamment intéressantes. Les universités de Toronto et McMaster en Ontario, l’UBC à Vancouver et l’Alberta à Edmonton sont parmi les plus célèbres. Elles accueillent un grand nombre d’étudiants étrangers à chaque nouvelle entrée. Notons que ce sont des universités anglophones et que vous avez besoin d’un excellent niveau d’anglais pour votre admissibilité.

Etudier à la mode anglo-saxonne

Les études menées au Canada sont conformes au modèle anglo-saxon. C’est-à-dire qu’il y aura moins de cours magistraux, mais une grande place pour la pratique et les études de cas. Pendant les cours, les étudiants vont effectuer de nombreux travaux de groupe et d’exposés oraux. Cette technique va sans doute améliorer votre performance et votre façon de comprendre les cours. Peu importe l’établissement que vous choisissez, un changement de décor est inévitable. Une atmosphère surprenante vous y attend !

Que font exactement les agents de la douane ?

Les agents de la douane sont des fonctionnaires du ministère de l’Économie et des Finances et effectuent des missions commerciales, administratives et de surveillance. Le douanier travaille sous la responsabilité de la direction générale des douanes et des droits indirects ou GDDI. Leurs missions se divisent en trois catégories. Ils sécurisent les échanges économiques en travaillant pour les entreprises, ils protègent le territoire en surveillant l’entrée de produits et marchandises aux frontières, aux sites portuaires et aéroportuaires. Ils perçoivent les impôts indirects, les droits de douane et la TVA sur les produits importés. Le douanier a également pour mission de lutter contre les fraudes qu’il s’agisse de fraude fiscale ou de contrefaçons des produits importés. Plus précisément, l’agent de constatation perçoit les taxes et surveille les entrées des produits importés. Le contrôleur et l’inspecteur des douanes peuvent avoir de nombreuses fonctions comme vérificateur de marchandises, chef d’équipe ou d’unité, marin des douanes, etc. Enfin, l’inspecteur des douanes

Études pour devenir douanier

Tous les fonctionnaires de la douane sont recrutés par les trois types de concours : niveau A, niveau B et niveau C. Les concourants choisissent la branche dans laquelle ils désirent opérer, dont la branche administrative, la branche commerciale et la surveillance. Des conditions s’imposent pour participer au concours. Le candidat doit être de nationalité française. Certaines postes s’ouvrent également aux ressortissants de l’Union européenne ou de l’espace économique européen. Après le concours, le futur douanier suit des formations professionnelles et techniques à la fois au sein de l’une des deux écoles spécialisées dans le domaine.

Passer le diplôme

Tout commence bien évidemment par le CAP. Comme n’importe quel artisan, il est de mise pour vous d’en apprendre davantage sur les normes en vigueur, les techniques à utiliser et les précautions à prendre pendant l’exercice de vos fonctions. Pour ce faire, quelques établissements vous proposent des formations. Ce peut être à distance ou non, en fonction de vos disponibilités. Dans les deux cas, en moyenne, le cursus dure dans les 2 ans.

Respecter les conditions légales

Un artisan doit aussi respecter quelques conditions légales pour se targuer être en activité.
– En premier lieu, il doit avoir suivi un stage professionnalisant après l’obtention de son CAP. Ce dernier devra durer au minimum 1 an.
– En second lieu, il devra avoir une assurance professionnelle afin de protéger ses futurs clients des malfaçons et des vices, mais aussi le couvrir en cas d’accident
– En troisième lieu, il devra assurer une transparence de prix
– En quatrième lieu, s’il s’agit d’un électricien indépendant, il faudra également avoir un compte bancaire spécifique pour l’activité.
Sachez entre autres qu’après 2 ans de métier, vous pouvez prétendre au titre de « maitre d’ouvrage ». C’est la seule promotion disponible pour les artisans et elle n’ouvre pas droit à une augmentation de salaire, mais à un peu plus de facilité dans la recherche des chantiers.

Les accessoires de mise

Plusieurs accessoires sont de mise pour votre protection durant l’exercice de vos fonctions. Il importe de souligner que les assureurs prennent en compte de leur utilisation afin de juger de vos recouvrements en cas d’accident.
Parmi les articles incontournables, on peut compter :
– Les chaussures de chantier
– Les combinaisons et les gans isolants
– Le casque
– Et bien évidemment, tout le matériel donc vous aurez besoin pour les dépannages et/ou installation de système électrique.